Dans les phrases suivantes, sélectionner le COI.
Dans cette phrase, le COI du verbe « pense » répond à la question « à quoi » :
Noélie pense à quoi ? À renoncer.
Dans cette phrase, le COI du verbe « demande » répond à la question « à quoi » :
Maël demande à quoi ? À changer.
Dans cette phrase, le COI du verbe « parle » répond à la question « à qui » :
Matilda parle à qui ? À Henri.
Dans cette phrase, le COI du verbe « s'entraîne » répond à la question « à quoi » :
Paul s'entraîne à quoi ? À danser.
Dans cette phrase, le COI du verbe « s'amuse » répond à la question « à quoi » :
Le bébé s'amuse à quoi ? À sauter.
Dans cette phrase, le COI du verbe « ai » répond à la question « de quoi » :
J'ai envie de quoi ? Manger.
Le COI du verbe répond ici à la question « à quoi ? » :
Mes parents tiennent à quoi ? À ce que je travaille cet été.
Le COI du verbe « tiennent » est donc « à ce que je travaille cet été ». Il s'agit d'une proposition subordonnée conjonctive, introduite par « que ».
Le COI du verbe répond à la question « à quoi » :
Les enfants pensent à quoi ? À organiser une fête.
Le COI du verbe « pensent » est donc « à organiser une fête ». Il s'agit d'une proposition subordonnée infinitive introduite par le verbe à l'infinitif « organiser ».
Le COI du verbe répond ici à la question « à qui » :
Jean parle à qui ? À Laura.
Le COI du verbe « parle » est donc « à Laura ».
Le COI du verbe répond ici à la question « à quoi ? » :
Mélodie s'attend à quoi ? À ce que je rentre tôt. Le COI du verbe « s'attend » est donc « à ce que je rentre tôt ».
Il s'agit d'une proposition subordonnée conjonctive, introduite par « que ».
Le COI du verbe répond ici à la question « de quoi » :
Ambre rêve de quoi ? De partir en Australie.
Le COI du verbe « rêve » est donc « de partir en Australie ». Il s'agit d'une proposition subordonnée infinitive introduite par le verbe à l'infinitif « partir ».
Le COI du verbe répond à la question « à quoi »
La famille songe à quoi ? À partir en vacances.
Le COI du verbe « songe » est donc « à partir en vacances ». Il s'agit d'une proposition subordonnée infinitive introduite par le verbe à l'infinitif « partir ».