On dispose d'un échantillon d'un liquide incolore effervescent. On cherche à déterminer la composition de ce mélange. Pour cela, on réalise des tests d'identification courant. Pour cela, on effectue un dégazage et on recueille le gaz dans plusieurs tubes à essai que l'on bouche. Le liquide dégazé est également récupéré à part.
On réalise le test du sulfate de cuivre anhydre avec quelques gouttes du liquide incolore. La poudre reste blanche.
Comment interprète-t-on le résultat de cette expérience ?
Pour tester la présence de la molécule d'eau dans un mélange, on verse celui-ci sur du sulfate de cuivre anhydre. Si le mélange contient de l'eau, le sulfate de cuivre anhydre, initialement blanc, devient bleu.
Le liquide incolore n'est pas de l'eau.
On réalise le test de la bûchette incandescente avec le gaz recueilli. La bûchette ne se rallume pas.
Comment interprète-t-on le résultat de cette expérience ?
Pour tester la présence de la molécule de dioxygène dans un récipient, on y introduit une bûchette incandescente. Si elle s'enflamme de nouveau, c'est que le récipient contient du dioxygène.
Le gaz n'est pas du dioxygène.
On réalise le test de la détonation avec le gaz recueilli. On approche une allumette mais aucune détonation ne se produit.
Comment interprète-t-on le résultat de cette expérience ?
Pour tester la présence de la molécule de dihydrogène dans un tube à essai, on approche de son embouchure une allumette. Si une détonation se produit, c'est que le tube à essai contient du dihydrogène.
Le gaz n'est pas du dihydrogène.
On réalise le test à l'eau de chaux avec le gaz recueilli. L'eau de chaux se trouble.
Comment interprète-t-on le résultat de cette expérience ?
Pour tester la présence de la molécule de dioxyde de carbone dans un mélange, on réalise le test à l'eau de chaux : on introduit le gaz à identifier dans de l'eau de chaux (on dit qu'on le fait barboter), si elle se trouble c'est qu'il s'agit de dioxyde de carbone.
Le gaz est du dioxyde de carbone.