Pour chaque phrase, déterminer la valeur du verbe au plus-que-parfait en gras.
Quand elle avait bien dormi, elle était heureuse.
Dans la phrase précédente, le plus-que-parfait permet d'exprimer un fait passé, le fait qu'elle « avait bien dormi », antérieur à un autre fait passé, le fait qu'elle « était heureuse », dont le verbe est à l'imparfait (« était »).
Il avait neigé toute la nuit.
Dans la phrase précédente, le plus-que-parfait permet d'exprimer un fait qui s'est prolongé dans le passé, le fait qu'il « avait neigé toute la nuit ».
Si j'avais pu, je serais venue à la fête.
Dans la phrase précédente, le plus-que-parfait permet d'exprimer le regret dans le cadre de la concordance des temps. Le plus-que-parfait (« avais pu ») est suivi du conditionnel (« serais »).
Si j'avais su, je ne lui aurais jamais parlé.
Dans la phrase précédente, le plus-que-parfait permet d'exprimer le regret dans le cadre de la concordance des temps. Le plus-que-parfait (« avais su ») est suivi du conditionnel (« aurais »).
Elle l'avait détesté toute l'année.
Dans la phrase précédente, le plus-que-parfait permet d'exprimer un fait qui s'est prolongé dans le passé, le fait qu'elle « l'avait détesté toute l'année ».
Lorsqu'il avait joué avec ses amis, il était content.
Dans la phrase précédente, le plus-que-parfait permet d'exprimer un fait passé, le fait qu'il « avait joué », antérieur à un autre fait passé, le fait qu'il « était content », dont le verbe est à l'imparfait (« était »).