Répondre aux questions suivantes à partir des connaissances pour traiter le sujet : « Quelles sont les caractéristiques de l'agriculture vivrière ? »
Compléter la phrase suivante en choisissant la proposition qui convient.
L'agriculture vivrière désigne les cultures destinées seulement à la consommation des paysans et de leurs familles.
Parmi les propositions suivantes, laquelle n'est pas une caractéristique de l'agriculture vivrière ?
L'agriculture vivrière repose sur des pratiques traditionnelles, basées sur des outils et du travail manuel. Les machines sont donc très rares, tout comme les engrais chimiques. En revanche, les agriculteurs peuvent utiliser des engrais naturels comme le fumier.
Vrai ou faux ? Dans l'agriculture vivrière, les paysans n'utilisent pas la technique de l'irrigation.
Faux. Les agriculteurs n'ont pas l'eau courante mais ils peuvent développer des techniques d'irrigation rudimentaire : dévier de petits cours d'eau, faire des sillons les jours de pluie, etc.
Parmi les images suivantes, laquelle illustre l'agriculture vivrière ?
Sur cette image, l'agriculteur utilise la force animale de la charrue pour travailler la terre. Cette technique est beaucoup plus rudimentaire et donne lieu à de plus faibles rendements que dans les terres où les agriculteurs utilisent des moyens mécaniques comme les tracteurs.
Dans l'agriculture vivrière, comment peut-on qualifier les rendements ?
Dans l'agriculture vivrière, la production est souvent très faible. Les rendements suffisent donc tout juste à nourrir les populations sur place.
Vrai ou faux ? L'agriculture vivrière est uniquement développée en Afrique et en Asie.
Faux. Si l'agriculture pratiquée en Asie ou en Afrique est souvent vivrière, ce type d'agriculture est également beaucoup pratiqué en Amérique latine.
L'agriculture vivrière désigne les cultures destinées seulement à la consommation des paysans et de leurs familles. En Afrique, en Asie, ou en Amérique latine, de nombreux espaces sont mis en valeur depuis des milliers d'années grâce à l'agriculture vivrière. Celle-ci repose sur des pratiques traditionnelles, basées sur des outils et du travail manuel. Les machines sont très rares, tout comme les engrais et les techniques d'irrigation qui restent très rudimentaires. Les rendements sont donc souvent très faibles et suffisent tout juste à nourrir les populations sur place.