Répondre aux questions suivantes qui permettront de traiter le sujet : « Quelles furent les violences de la Première Guerre mondiale ? »
Quand les soldats combattent-ils dans les tranchées ?
La guerre dans les tranchées ou guerre de position débute après une guerre de mouvement, au cours de laquelle l'armée allemande pénètre en France, qui se termine à la fin de 1914. La guerre de mouvement reprend en 1918, jusqu'à la défaite de l'Allemagne.
Vrai ou faux ? Dans les tranchées, les poilus souffrent de la fatigue, de la faim, de la boue, des poux, des rats, de l'éloignement de leurs familles.
Comment les pays tentent-ils de détruire les tranchées ennemies ?
Les bombardements et les chars sont deux nouvelles armes créées pendant cette guerre. Les gaz asphyxiant et les lance-flammes sont aussi utilisés contre les soldats ennemis.
Quelles batailles illustrent la violence de la guerre ?
Les batailles de Verdun et de la Somme font respectivement 700 000 et 1,1 million de victimes (morts ou blessés).
Compléter la phrase suivante en choisissant la proposition qui convient.
Quel empire organise le génocide du peuple arménien ?
Les Arméniens sont victimes de l'Empire ottoman, battu par la Russie.
Quels sont les deux types de violences subies par le peuple arménien ?
L'Empire ottoman organise d'abord le massacre des hommes dans les villages (600 000 victimes environ). Puis les familles meurent de faim, de soif, de fatigue ou sont exécutées au cours de leur déportation puis dans les camps de concentration (environ 600 000 morts).
Quelles sont les deux parties qui conviendraient le mieux au sujet étudié ?
Sélectionner les quatre informations qui seront utiles pour rédiger une réponse construite.
Classer chaque paragraphe dans la partie qui lui correspond.
La guerre débute en 1914. Les combats commencent par une guerre de mouvement en particulier sur le front occidental : les armées allemandes pénètrent ainsi sur le sol français et ne sont stoppées qu'à 60 kilomètres de Paris. Puis, à la fin de l'année 1914, les fronts se stabilisent et les soldats s'enterrent dans des tranchées : c'est le début de la guerre de position.
Pour affaiblir les armées ennemies dans leurs tranchées, les pays belligérants utilisent les chars ou les bombardements. La guerre devient industrielle. Les poilus sont victimes d'armes nouvelles et très destructrices, fabriquées en grandes quantités dans des usines : des mitrailleuses, des grenades, des lance-flammes, des gaz asphyxiants.
La violence de ces combats est illustrée par la bataille de Verdun (de février à décembre 1916, 700 000 victimes, morts ou blessés) ou de la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916, 1,1 million de victimes).
Les Arméniens constituent une minorité chrétienne qui vit au Nord-Est du territoire ottoman. Ils sont rendus responsables des défaites militaires de l'Empire ottoman face à la Russie.
Les dirigeants de cet empire considèrent les Arméniens comme un ennemi intérieur coupable de trahison et qui fait obstacle à leur volonté de créer un État sans minorité ethnique.
Les élites militaires et politiques arméniennes sont éliminées dès février 1915. La population arménienne est ensuite massacrée dans les villages puis déportée, lors de marches forcées, vers des régions désertiques du Sud de l'empire : ceux qui ne meurent pas de faim, de soif ou de fatigue sont exécutés. Entre 1 et 1,5 million d'Arméniens meurent (soit environ les \dfrac{2}{3} de la population arménienne).
I - Les combats dans les tranchées sont très violents
II - Le génocide arménien est l'autre manifestation de la violence de masse provoquée par la Première Guerre mondiale.
Les combats dans les tranchées opposent des soldats qui utilisent des armes nouvelles, produites en masse dans les usines et très destructrices.
La guerre débute en 1914. Les combats commencent par une guerre de mouvement en particulier sur le front occidental : les armées allemandes pénètrent ainsi sur le sol français et ne sont stoppées qu'à 60 kilomètres de Paris. Puis, à la fin de l'année 1914, les fronts se stabilisent et les soldats s'enterrent dans des tranchées : c'est le début de la guerre de position.
Pour affaiblir les armées ennemies dans leurs tranchées, les pays belligérants utilisent les chars ou les bombardements. La guerre devient industrielle. Les poilus sont victimes d'armes nouvelles et très destructrices, fabriquées en grandes quantités dans des usines : des mitrailleuses, des grenades, des lance-flammes, des gaz asphyxiants. La violence de ces combats est illustrée par les batailles de Verdun (de février à décembre 1916, 700 000 victimes, morts ou blessés) ou de la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916, 1,1 million de victimes).
Le génocide arménien est l'autre manifestation de la violence de masse provoquée par la Première Guerre mondiale.
Les Arméniens constituent une minorité chrétienne qui vit au Nord-Est du territoire ottoman. Ils sont rendus responsables des défaites militaires de l'Empire ottoman face à la Russie. Les dirigeants de cet empire considèrent les Arméniens comme un ennemi intérieur coupable de trahison et qui fait obstacle à leur volonté de créer un État sans minorité ethnique.
Les élites militaires et politiques arméniennes sont éliminées dès février 1915. La population arménienne est ensuite massacrée dans les villages puis déportée, lors de marches forcées, vers des régions désertiques du Sud de l'empire : ceux qui ne meurent pas de faim, de soif ou de fatigue sont exécutés. Entre 1 et 1,5 million d'Arméniens meurent (soit environ les \dfrac{2}{3} de la population arménienne).