Au XVIIe siècle, quelles critiques sont adressées au genre romanesque ?
Pourquoi le roman est-il jugé comme amoral ?
Quel critique a, dans ses sermons, mis en avant les danger de l'amour passionnel, présent dans les romans ?
Quelle liberté, pouvant s'avérer dangereuse pour les critiques, permet le roman ?
Pourquoi les romans peuvent-ils s'avérer dangereux auprès des lecteurs ?
Quelle partie du lectorat est jugée particulièrement influençable et en danger face aux romans ?