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Les dynamiques territoriales des Etats-Unis et du Brésil Composition type bac

Ce contenu a été rédigé par l'équipe éditoriale de Kartable.

Dernière modification : 03/09/2019 - Conforme au programme 2019-2020

Pondichéry, 2016, voie ES

États-Unis - Brésil : dynamiques territoriales

Quel plan aurait pu permettre de traiter ce sujet ?

Quelle est la superficie États-Unis ?

Comment appelle-t-on la conurbation urbaine du Nord-Est des États-Unis ?

Comment appelle-t-on la région la plus industrialisée des États-Unis ?

Comment appelle-t-on l'appropriation progressives des espaces centraux du Brésil ?

Quelle est la capitale économique du Brésil ?

Deux États-continents. C'est généralement ainsi que l'on qualifie les deux grandes puissances américaines que sont les États-Unis et le Brésil. Forts de leurs 9,8 millions de km2, les États-Unis se classent ainsi au troisième rang mondial en termes de superficie quand le Brésil, avec 8,5 millions de km2, se situe au cinquième rang.
L'organisation de ces territoires, dont l'immensité s'impose donc d'emblée, est le fruit d'une histoire singulière, celle du peuplement européen à la suite des grandes découvertes de la fin du XVe siècle et du début du XVIe siècle. "Pays neufs" s'il en est, les États-Unis et le Brésil, d'abord colonisés respectivement par les Britanniques (mais aussi les Français et les Espagnols) et les Portugais, ont pris leur indépendance à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, ce qui les a incités à davantage maîtriser leurs territoires, à les contrôler et à les aménager.
L'organisation territoriale des États-Unis et du Brésil reflète donc leur passé autant qu'elle explique et témoigne de leur puissance actuelle. Il s'agira donc ici de nous interroger sur la manière dont ces deux grands pays ont structuré et modelé leurs territoires, comment les populations et les États se sont appropriés l'espace et l'ont mis en valeur. Pour ce faire, nous aborderons dans un premier temps les points communs que l'on peut déceler dans l'organisation territoriale de ces pays avant de considérer les caractéristiques propres à chacun d'entre eux et les recompositions à l'œuvre.

I

États-Unis/Brésil : des logiques d'organisation du territoire similaires fruits d'un passé commun

A

Des territoires immenses, fortement peuplés et dotés de ressources naturelles nombreuses

Le premier constat qui s'impose lorsque l'on considère les territoires brésilien et états-unien, c'est, on l'a dit, leur immensité. 9,8 millions de km2 pour les États-Unis, 8,5 millions de km2 pour le Brésil. Ils font donc partie des plus grands États du monde avec la Russie, le Canada et la Chine. On peut rappeler que les États-Unis représentent près de 6% des terres émergées quand le Brésil en représente plus de 5%. Par ailleurs, ces territoires sont peuplés : on peut noter que le pays de l'Oncle Sam compte 319 millions d'habitants, ce qui le situe là encore au troisième rang mondial, derrière la Chine et l'Inde. Avec 200 millions d'habitants, le Brésil est le cinquième pays du monde en termes de population. On peut ici souligner le fait que cette population est inégalement répartie sur le territoire de ces deux États : on distingue nettement des pleins et des vides, fruit et témoignage du passé et révélateur de l'intégration à la mondialisation.

À cela, on peut ajouter que ces territoires offrent une diversité de ressources qui n'est pas sans expliquer leur puissance. Rappelons pour mémoire que les États-Unis sont bien pourvus en minerais, et notamment en minerais de charbon qui est extrait dans les Appalaches et dans les Rocheuses. Ils détiennent aussi de l'or, du cuivre, du fer et du plomb en quantité. Les hydrocarbures sont également présents dans le sous-sol états-unien : Washington est le deuxième producteur de pétrole conventionnel du monde et le premier producteur de gaz naturel. Le Brésil n'est pas en reste avec ses mines d'or, de bauxite, de fer ou de manganèse, sans compter le pétrole dont la découverte a permis d'assurer l'autosuffisance du pays en 2006. Enfin, l'un et l'autre disposent de terres arables de qualité en grande quantité : les Grandes Plaines américaines sont réputées pour leur production agricole, au même titre que les terres défrichées du Brésil. Avec 3,7 millions de km2 et 3,4 millions de km2 de terres agricoles, les États-Unis et le Brésil se situent parmi les plus grandes puissances agricoles du monde.

B

La littoralisation, héritage de la colonisation, comme marqueur de l'organisation territoriale

Il est bon de rappeler ici que les États-Unis comme le Brésil sont deux "pays neufs", dont l'organisation et la structuration spatiales contemporaines sont des héritages de leur passé colonial. Les empreintes précolombiennes sont en effet aujourd'hui peu visibles sur l'organisation du territoire. Rappelons à cet égard que les Européens prennent pied sur le continent dans le sillage des Colomb et autres Cabral au cours du XVIe siècle. Ils arrivent par voie maritime et accostent en conséquence sur la côte Atlantique de ces pays.

Pour ce qui est des États-Unis, l'ancrage se fait donc sur la côte Est, ce qui explique la forte densité de population de cette région et le rôle central de ce qu'on appelle la Mégalopolis américaine. Avec 60 millions d'habitants, cette région qui s'étend de Washington à Boston en passant par New York et Philadelphie affiche des densités de population avoisinant les 500 hab./km2 avec un pic à près de 108 000 hab./km2 selon une estimation du Census Bureau de 2006. Cette implantation initiale a été renforcée au XIXe siècle avec l'immigration de masse : ce sont des millions d'Européens qui quittent le Vieux continent pour s'installer aux États-Unis. Ils arrivent pour l'essentiel à New York ; Ellis Island en est le symbole. La côte Pacifique des États-Unis, si elle apparaît aujourd'hui comme très dynamique, n'en est pas moins nettement moins densément peuplée. Il est clair que la densité va décroissant plus on s'éloigne de la côte Est, ce qui traduit la trajectoire de la conquête du territoire.

Au Brésil, les colons portugais débarquent dans le Nordeste, dans la région de Recife. Plus généralement, c'est l'ensemble des côtes qui sont très densément peuplées ; elles rassemblent l'essentiel de la population brésilienne et concentrent l'essentiel de l'armature urbaine du pays : Sao Paulo, Rio de Janeiro, Salvador, Fortaleza, Curitiba ou Porto Alegre sont autant de villes situées sur ou à proximité des côtes. Inversement, l'intérieur des terres est nettement moins peuplé, les densités descendant à des niveaux infinitésimaux dans les régions les plus reculées de l'Amazonie. Manaus, en plein cœur de l'Amazonie, est bien seule.

C

La conquête territoriale comme projet : conquête de l'Ouest et front pionnier

On l'a dit, l'organisation territoriale de ces deux pays révèle en creux leur histoire récente. Débarqués sur les côtes de l'Atlantique, les Européens ont tardé à mettre en valeur l'intérieur des terres bien que ces espaces aient été loin d'être inhabités : les Amérindiens les occupaient de manière lâche mais réelle jusqu'à ce que les États entendent contrôler et mettre en valeur ces terres pour des raisons à la fois économiques et politiques. Économiques, car elles recelaient des ressources naturelles non négligeables. Politique, car un État se doit de contrôler chaque m2 de l'espace qu'il considère comme relevant de son autorité, de son territoire en somme.

Aux États-Unis, le XIXe siècle est ainsi marqué par la conquête de l'Ouest dont on peut dire qu'il s'agit d'un phénomène de colonisation interne du territoire américain par une population d'origine européenne désireuse de trouver des terres à exploiter et de l'or (c'est la Ruée vers l'or). Cette conquête de l'Ouest popularisée dans les westerns hollywoodiens explique en partie le fait que le nombre d'États fédérés soit passé de 13 en 1776 à 50 aujourd'hui. Encouragés par l'État, les Américains partent par dizaines de milliers à la conquête des Grandes Plaines et des Rocheuses : la lutte avec les Indiens est coriace mais victorieuse. Cette conquête de l'Ouest s'accompagne de la création d'un réseau de transport transcontinental : des lignes de chemins de fer et des routes sont créées et permettent de relier l'Atlantique au Pacifique.

Au Brésil, la maîtrise du territoire est elle aussi passée par la conquête dans le cadre des cycles économiques. Ainsi, les plantations de canne à sucre du XVIIe siècle se sont développées sur la côte Atlantique, autour de Recife, Salvador ou Rio. Au XVIIIe siècle, la recherche de l'or a poussé les Brésiliens à pénétrer davantage à l'intérieur des terres avant que la production de caoutchouc ne les amène à exploiter les rives du fleuve Amazonie. On notera aussi que l'élevage extensif et la recherche de pâturages a toujours incité à entrer plus avant dans les terres et à développer le front pionnier aux dépens des terres inexploitées à défaut d'être inhabitées (par les populations descendant des Précolombiens).

On l'aura donc compris, un certain nombre de similitudes marquent les logiques d'organisation des territoires états-uniens et brésiliens. Il convient néanmoins de préciser leurs spécificités et de souligner les recompositions à l'œuvre.

II

Des territoires structurés de manière spécifique

A

Les États-Unis : des centres et des périphéries

Comme souvent en géographie, on constate que les centres géographiques ne sont pas les centres économiques et politiques. Il en est ainsi pour les États-Unis dont la capitale fédérale est à Washington, sur la côte Est, ce qui s'explique, on l'a vu, par des considérations historiques liées à la construction du territoire. Plus largement, le nord-est des États-Unis apparaît à bien des égards comme le centre de la puissance américaine. La Mégalopolis, qu'on appelle aussi la "BosWash", concentre les fonctions de commandement économique et politique du pays ; elle a un rayonnement mondial dans le cadre de la mondialisation : elle fait partie de l'AMM (Archipel mégalopolitain mondial d'Olivier Dollfus). Rappelons par ailleurs que New York est l'archétype de la ville-monde telle que définie par Saskia Sassen. À cette mégalopole, il faut ajouter la "Manufacturing Belt" qui concentre rien moins que 45% des emplois industriels du pays autour des Grands Lacs. Chicago ou Cleveland en sont les vitrines. Ce cœur historique de l'économie américaine a vu son intégration régionale accrue à partir de 1994 et la signature du Traité de libre-échange nord-américain (ALENA) qui a transformé la frontière américano-canadienne en interface dynamique.

À ce centre s'opposent des périphéries dont l'intégration est plus ou moins avancée. Ainsi, les Grandes Plaines de l'intérieur apparaissent comme des espaces intégrés dans la mesure où elles permettent aux États-Unis d'asseoir leur puissance agricole à l'échelle régionale et mondiale : la grande culture y domine et l'agro-business y prospère. L'Ouest montagneux semble quant à lui moins mis en valeur même si l'économie touristique s'y développe autour des parcs nationaux comme Yellowstone ou Grand Bassin. Enfin, les espaces ultra-périphériques comme l'Alaska ou Hawaï sont mis en valeur pour leurs ressources propres : ainsi, l'Alaska offre de précieuses ressources en hydrocarbures quand Hawaï apparaît comme une place stratégique de premier ordre. La "Sun Belt" apparaît comme une périphérie ultra-intégrée dont la seule mention de la Silicon Valley fait foi. Il est à noter que tous ces espaces sont reliés par des axes de communication, qu'ils soient routiers ou fluviaux. Il est certain que le territoire américain est aujourd'hui maîtrisé, ce qui n'est pas encore le cas du territoire brésilien.

B

Le Brésil : un territoire à maîtriser

L'histoire du front pionnier brésilien est révélatrice de la difficulté de l'État brésilien à maîtriser un territoire aussi vaste. L'État brésilien s'est ainsi longtemps concentré sur son littoral avant de considérer qu'il devait aussi asseoir son autorité sur l'intérieur des terres et mettre en valeur ce territoire. Ce front pionnier a donc avancé grâce à l'initiative de l'État qui a ouvert des routes amazoniennes qui ont structuré la déforestation et la mise en culture. Si l'État a donc appuyé l'avancée du front pionnier, celui-ci s'est aussi développé dans l'illégalité. En effet, un certain nombre de paysans sans terres voient dans la déforestation le moyen de trouver enfin des terres à exploiter. Par ailleurs, les firmes multinationales de l'agroalimentaire ont largement contribué à la déforestation sauvage dans le but de mettre en culture les espaces ainsi libérés et de vendre au passage le bois "exotique". Finalement, ce sont donc des centaines de milliers d'hectares de forêt qui ont été détruits.

Les préoccupations environnementales qui se sont fait jour ces dernières décennies ont placé l'Amazonie au cœur des débats et les gouvernements brésiliens ont tenté de ralentir la déforestation ou, à tout le moins, de la maîtriser. Pour ce faire, ils ont développé les moyens de surveillance, notamment via les satellites qui permettent de mieux mesurer l'avancée du front pionnier amazonien. Par ailleurs, ils ont mené une opération de responsabilisation et de stabilisation à l'endroit des exploitants illégaux. En échange d'un titre de propriété en bonne et due forme, ceux-ci s'engagent à mettre en valeur le territoire de manière raisonnée et pérenne. En d'autres termes, il s'agit d'éviter la fuite en avant car, sans entretien, les terres amazoniennes s'épuisent en quelques années et la tentation est alors grande d'aller défricher plus loin en laissant des friches derrière soi. Rendre les exploitants propriétaires, c'est les rendre responsables en les attachant à leur terre. C'est aussi lutter contre les inégalités socio-écomiques.

Enfin, la maîtrise du territoire est passée par le déménagement, en 1960, de la capitale brésilienne de Rio de Janeiro à Brasilia à l'initiative du Président Kubitschek. En créant de toute pièce une nouvelle capitale éloignée de plus de 1000 km des côtes, il entendait envoyer un message symbolique clair : le Brésil se réappropriait ses terres intérieures ; il se recentrait. Ce déménagement entraîna des migrations internes importantes puisqu'une bonne partie de l'administration et donc de ses cadres ont dû déménager. Cette politique volontariste d'aménagement et de structuration du territoire marque la volonté du Brésil de le maîtriser.

C

Des territoires en recomposition constante

Les territoires brésiliens et étatsuniens sont loin d'être figés. Comme n'importe quel territoire, ils sont inscrits dans l'Histoire et leur structuration évolue au fil du temps. Ainsi, pour ce qui est des États-Unis, il apparaît nettement que les États de la "Sun belt" sont aujourd'hui les plus dynamiques : ils concentrent les industries de haute technologie et les laboratoires de recherches. On peut bien sûr évoquer la Silicon Valley de San Francisco qui a donné naissance à certains des plus grands groupes mondiaux et assuré aux Etats-Unis une domination mondiale sur certains secteurs. Miami et la Floride, mais aussi Houston et le Texas ou Las Vegas dans le Nevada sont d'autres symboles des recompositions en cours. Chacune de ces régions a su mettre en valeur un secteur particulier : la Floride a misé sur le tourisme et l'accueil des retraités aisés du pays. Le Texas a développé le secteur pétrolier mais aussi le secteur aérospatial. Enfin, on peut rappeler que Boeing, le géant américain de l'aviation, a son siège à Seattle dans le Nord-Ouest du pays qui s'intègre par ailleurs à ce qu'on appelle la Pugetopolis. Inversement, la "Manufacturing belt" des Grands Lacs du Nord-Est du pays est en déclin, à tel point que l'on parle dorénavant de "Rust belt" (ceinture de la rouille) : friches industrielles et villes fantômes comme Détroit sont les symboles de ce déclin douloureux.

Au Brésil, les recompositions sont également importantes. Le Nordeste qui fut longtemps le cœur du pays est aujourd'hui devenu une périphérie en retard de développement, concentrant la pauvreté et la malnutrition. Le Sudeste, autour de Sao Paulo, est devenu en revanche le cœur battant du Brésil : avec le port de Santos, Sao Paulo est une ville relais de la mondialisation ; elle en est une porte d'entrée majeure. La région concentre rien moins que 50% de la production industrielle brésilienne. Dès lors, on comprend qu'elle concentre près de 80% de la richesse. Mais ces recompositions se remarquent aussi dans les espaces intérieurs : les anciens fronts pionniers ont été largement intégrés ; ils sont aujourd'hui des espaces de production économique de premier plan et assurent au pays une partie de son rayonnement. D'une certaine manière donc, le Brésil a connu et connaît encore un phénomène de recomposition important dans le cadre de son intégration à la mondialisation.

Très nettement donc, les territoires étatsuniens et brésiliens présentent des caractéristiques communes liées à leur passé colonial et au caractère récent de leur mise en valeur par des populations venues d'Europe. La répartition de la population y est très inégale et les centres se situent sur les côtes Atlantique. La conquête du territoire a été au cœur des enjeux politiques et économiques de ces deux pays. Cependant, on a pu constater que si le territoire étatsunien est aujourd'hui largement maîtrisé, il n'en va pas de même du territoire brésilien dont une partie est encore difficilement contrôlée et gérée.
Quoi qu'il en soit ces territoires sont marqués par des recompositions d'envergure : les dynamiques à l'œuvre modifient les équilibres entre les centres et les périphéries considéré comme historiques. Le Sudeste brésilien a pris le pas sur le Nordeste et la "Sun belt" s'affirme de plus en plus comme un centre concurrent au Nord-Est américain même si celui-ci conserve nombre de ses atouts.

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