Sur le spectre IR suivant de l'hexan-1-ol, peut-on identifier des liaisons hydrogène ?
Le spectre montre une bande d'absorption forte et large à 3400 cm-1, caractéristique d'une liaison \ce{O-H_{lié}}. Il y a donc présence de liaisons hydrogène.
S'il n'y avait pas de liaison hydrogène, la bande d'absorption serait déplacée vers les nombres d'onde plus élevés (3580 à 3650 cm-1) et serait surtout plus fine : ce n'est pas le cas ici.
Le spectre montre la présence de liaisons hydrogène.
Sur le spectre IR suivant du pentan-2-ol, peut-on identifier des liaisons hydrogène ?
Le spectre montre une bande d'absorption forte et large à 3400 cm-1, caractéristique d'une liaison \ce{O-H_{lié}}. Il y a donc présence de liaisons hydrogène.
S'il n'y avait pas de liaison hydrogène, la bande d'absorption serait déplacée vers les nombres d'onde plus élevés (3580 à 3650 cm-1) et serait surtout plus fine : ce n'est pas le cas ici.
Le spectre montre la présence de liaisons hydrogène.
Sur le spectre IR suivant de l'alcool benzylique en phase gazeuse, peut-on identifier des liaisons hydrogène ?
Le spectre montre une bande d'absorption forte et fine et à 3620 cm-1, caractéristique d'une liaison \ce{O-H_{libre}}. Il n'y a donc pas présence de liaisons hydrogène.
S'il y avait des liaisons hydrogène, la bande d'absorption serait déplacée vers les nombres d'onde plus faibles (3200 à 3400 cm-1) et serait surtout plus large : ce n'est pas le cas ici.
Le spectre ne montre pas la présence de liaisons hydrogène.
Sur le spectre IR suivant du thymol dilué dans un solvant, peut-on identifier des liaisons hydrogène ?
Le spectre montre une bande d'absorption forte et fine et à 3620 cm-1, caractéristique d'une liaison \ce{O-H_{libre}}. Il n'y a donc pas présence de liaisons hydrogène.
S'il y avait des liaisons hydrogène, la bande d'absorption serait déplacée vers les nombres d'onde plus faibles (3200 à 3400 cm-1) et serait surtout plus large : ce n'est pas le cas ici.
Le spectre ne montre pas la présence de liaisons hydrogène.
Sur le spectre IR suivant de l'alcool benzylique en phase condensée, peut-on identifier des liaisons hydrogène ?
Le spectre montre une bande d'absorption forte et large à 3400 cm-1, caractéristique d'une liaison \ce{O-H_{lié}}. Il y a donc présence de liaisons hydrogène.
S'il n'y avait pas de liaison hydrogène, la bande d'absorption serait déplacée vers les nombres d'onde plus élevés (3580 à 3650 cm-1) et serait surtout plus fine : ce n'est pas le cas ici.
Le spectre montre la présence de liaisons hydrogène.
Sur le spectre IR suivant du thymol pur, peut-on identifier des liaisons hydrogène ?
Le spectre montre une bande d'absorption forte et large à 3300 cm-1, caractéristique d'une liaison \ce{O-H_{lié}}. Il y a donc présence de liaisons hydrogène.
S'il n'y avait pas de liaison hydrogène, la bande d'absorption serait déplacée vers les nombres d'onde plus élevés (3580 à 3650 cm-1) et serait surtout plus fine : ce n'est pas le cas ici.
Le spectre montre la présence de liaisons hydrogène.
Sur le spectre IR suivant du propan-1-ol pur, peut-on identifier des liaisons hydrogène ?
Le spectre montre une bande d'absorption forte et large à 3300 cm-1, caractéristique d'une liaison \ce{O-H_{lié}}. Il y a donc présence de liaisons hydrogène.
S'il n'y avait pas de liaison hydrogène, la bande d'absorption serait déplacée vers les nombres d'onde plus élevés (3580 à 3650 cm-1) et serait surtout plus fine : ce n'est pas le cas ici.
Le spectre montre la présence de liaisons hydrogène.