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La Chine vue par François Hollande Etude de documents type bac

Ce contenu a été rédigé par l'équipe éditoriale de Kartable.

Dernière modification : 07/08/2019 - Conforme au programme 2019-2020

Liban, 2016, voie S

Faire l'étude de document suivant.

Extraits du discours prononcé par le président de la République François Hollande à l'occasion de la visite d'État du président chinois Xi Jinping, le 27 mars 2014.

http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-de-commemoration-du-50emeanniversaire-des-relations-diplomatiques-franco-chinoises/

Aujourd'hui, c'est la Chine et la France qui se retrouvent une fois encore. Les liens qui unissent nos deux pays s'inscrivent loin dans notre histoire. […] Et dans ce long récit, un acte plus important que tout autre a été posé le 27 janvier 1964. […] Là, le général de Gaulle avait raccourci pour mieux forcer sa pensée et il avait ainsi écrit : "Le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques". […] 50 ans plus tard, nous pouvons aussi mesurer le chemin parcouru. La Chine, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a pris la voie de la réforme et de l'ouverture. Elle est devenue en 30 ans la deuxième puissance économique du monde, un grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde. […] La Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune. La Chine, elle est portée par la dynamique d'abord de son émergence, ensuite de son influence. Et elle poursuit un développement à un rythme très rapide. […] Alors, la France, elle veut encore renforcer sa relation avec la Chine. […] Aujourd'hui, 1 500 000 Chinois visitent la France chaque année […]. Nous avons aussi une chance qui est de partager une communauté chinoise ici, en France, et je la salue. Plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques et qui vous ont réservé un très bon accueil. Et puis il y a ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer et qui sont nos meilleurs vecteurs pour prolonger, promouvoir nos relations et notre amitié. Alors, 50 ans après cette décision historique, qu'est-ce que nous avons à faire ensemble ? Quels défis nous pouvons relever ? Le premier, c'est la paix. C'était d'ailleurs ce que voulait le général de Gaulle, ce que voulait aussi le président Mao Zedong à ce moment-là où la guerre froide avait saisi le monde [...]. Nous sommes attachées, la Chine et la France, à l'indépendance, à la souveraineté. Nous avons aussi, vis-à-vis des organisations internationales, à commencer par l'ONU, le plus grand respect parce que nous sommes membres permanents du Conseil de sécurité et que nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde [...].

La Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents et c'est pourquoi nous sommes solidaires de l'Afrique. La Chine y investit depuis longtemps, y travaille, y construit [...]. Le second défi, c'est la croissance. J'allais dire, le vôtre, c'est de la maîtriser parce que vous êtes sur des rythmes considérables de progression de l'activité : 7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes. [...] Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire. [...] Il y a 17 ans, la Chine représentait 3% de l'économie mondiale, aujourd'hui elle en représente 12%. Il y a 17 ans, l'euro n'existait pas, aujourd'hui c'est la monnaie unique de 18 pays européens et la première devise en circulation dans le monde.

Dans quel contexte ce discours est-il prononcé ?

Extraits du discours prononcé par le président de la République François Hollande à l'occasion de la visite d'État du président chinois Xi Jinping, le 27 mars 2014.

http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-de-commemoration-du-50emeanniversaire-des-relations-diplomatiques-franco-chinoises/

Aujourd'hui, c'est la Chine et la France qui se retrouvent une fois encore. Les liens qui unissent nos deux pays s'inscrivent loin dans notre histoire. […] Et dans ce long récit, un acte plus important que tout autre a été posé le 27 janvier 1964. […] Là, le général de Gaulle avait raccourci pour mieux forcer sa pensée et il avait ainsi écrit : "Le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques". […] 50 ans plus tard, nous pouvons aussi mesurer le chemin parcouru. La Chine, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a pris la voie de la réforme et de l'ouverture. Elle est devenue en 30 ans la deuxième puissance économique du monde, un grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde. […] La Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune. La Chine, elle est portée par la dynamique d'abord de son émergence, ensuite de son influence. Et elle poursuit un développement à un rythme très rapide. […] Alors, la France, elle veut encore renforcer sa relation avec la Chine. […] Aujourd'hui, 1 500 000 Chinois visitent la France chaque année […]. Nous avons aussi une chance qui est de partager une communauté chinoise ici, en France, et je la salue. Plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques et qui vous ont réservé un très bon accueil. Et puis il y a ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer et qui sont nos meilleurs vecteurs pour prolonger, promouvoir nos relations et notre amitié. Alors, 50 ans après cette décision historique, qu'est-ce que nous avons à faire ensemble ? Quels défis nous pouvons relever ? Le premier, c'est la paix. C'était d'ailleurs ce que voulait le général de Gaulle, ce que voulait aussi le président Mao Zedong à ce moment-là où la guerre froide avait saisi le monde [...]. Nous sommes attachées, la Chine et la France, à l'indépendance, à la souveraineté. Nous avons aussi, vis-à-vis des organisations internationales, à commencer par l'ONU, le plus grand respect parce que nous sommes membres permanents du Conseil de sécurité et que nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde [...].

La Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents et c'est pourquoi nous sommes solidaires de l'Afrique. La Chine y investit depuis longtemps, y travaille, y construit [...]. Le second défi, c'est la croissance. J'allais dire, le vôtre, c'est de la maîtriser parce que vous êtes sur des rythmes considérables de progression de l'activité : 7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes. [...] Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire. [...] Il y a 17 ans, la Chine représentait 3% de l'économie mondiale, aujourd'hui elle en représente 12%. Il y a 17 ans, l'euro n'existait pas, aujourd'hui c'est la monnaie unique de 18 pays européens et la première devise en circulation dans le monde.

Quand la République populaire de Chine est-elle proclamée ?

Extraits du discours prononcé par le président de la République François Hollande à l'occasion de la visite d'État du président chinois Xi Jinping, le 27 mars 2014.

http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-de-commemoration-du-50emeanniversaire-des-relations-diplomatiques-franco-chinoises/

Aujourd'hui, c'est la Chine et la France qui se retrouvent une fois encore. Les liens qui unissent nos deux pays s'inscrivent loin dans notre histoire. […] Et dans ce long récit, un acte plus important que tout autre a été posé le 27 janvier 1964. […] Là, le général de Gaulle avait raccourci pour mieux forcer sa pensée et il avait ainsi écrit : "Le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques". […] 50 ans plus tard, nous pouvons aussi mesurer le chemin parcouru. La Chine, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a pris la voie de la réforme et de l'ouverture. Elle est devenue en 30 ans la deuxième puissance économique du monde, un grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde. […] La Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune. La Chine, elle est portée par la dynamique d'abord de son émergence, ensuite de son influence. Et elle poursuit un développement à un rythme très rapide. […] Alors, la France, elle veut encore renforcer sa relation avec la Chine. […] Aujourd'hui, 1 500 000 Chinois visitent la France chaque année […]. Nous avons aussi une chance qui est de partager une communauté chinoise ici, en France, et je la salue. Plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques et qui vous ont réservé un très bon accueil. Et puis il y a ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer et qui sont nos meilleurs vecteurs pour prolonger, promouvoir nos relations et notre amitié. Alors, 50 ans après cette décision historique, qu'est-ce que nous avons à faire ensemble ? Quels défis nous pouvons relever ? Le premier, c'est la paix. C'était d'ailleurs ce que voulait le général de Gaulle, ce que voulait aussi le président Mao Zedong à ce moment-là où la guerre froide avait saisi le monde [...]. Nous sommes attachées, la Chine et la France, à l'indépendance, à la souveraineté. Nous avons aussi, vis-à-vis des organisations internationales, à commencer par l'ONU, le plus grand respect parce que nous sommes membres permanents du Conseil de sécurité et que nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde [...].

La Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents et c'est pourquoi nous sommes solidaires de l'Afrique. La Chine y investit depuis longtemps, y travaille, y construit [...]. Le second défi, c'est la croissance. J'allais dire, le vôtre, c'est de la maîtriser parce que vous êtes sur des rythmes considérables de progression de l'activité : 7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes. [...] Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire. [...] Il y a 17 ans, la Chine représentait 3% de l'économie mondiale, aujourd'hui elle en représente 12%. Il y a 17 ans, l'euro n'existait pas, aujourd'hui c'est la monnaie unique de 18 pays européens et la première devise en circulation dans le monde.

De quelle organisation internationale la Chine est-elle membre de plein droit ?

Extraits du discours prononcé par le président de la République François Hollande à l'occasion de la visite d'État du président chinois Xi Jinping, le 27 mars 2014.

http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-de-commemoration-du-50emeanniversaire-des-relations-diplomatiques-franco-chinoises/

Aujourd'hui, c'est la Chine et la France qui se retrouvent une fois encore. Les liens qui unissent nos deux pays s'inscrivent loin dans notre histoire. […] Et dans ce long récit, un acte plus important que tout autre a été posé le 27 janvier 1964. […] Là, le général de Gaulle avait raccourci pour mieux forcer sa pensée et il avait ainsi écrit : "Le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques". […] 50 ans plus tard, nous pouvons aussi mesurer le chemin parcouru. La Chine, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a pris la voie de la réforme et de l'ouverture. Elle est devenue en 30 ans la deuxième puissance économique du monde, un grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde. […] La Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune. La Chine, elle est portée par la dynamique d'abord de son émergence, ensuite de son influence. Et elle poursuit un développement à un rythme très rapide. […] Alors, la France, elle veut encore renforcer sa relation avec la Chine. […] Aujourd'hui, 1 500 000 Chinois visitent la France chaque année […]. Nous avons aussi une chance qui est de partager une communauté chinoise ici, en France, et je la salue. Plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques et qui vous ont réservé un très bon accueil. Et puis il y a ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer et qui sont nos meilleurs vecteurs pour prolonger, promouvoir nos relations et notre amitié. Alors, 50 ans après cette décision historique, qu'est-ce que nous avons à faire ensemble ? Quels défis nous pouvons relever ? Le premier, c'est la paix. C'était d'ailleurs ce que voulait le général de Gaulle, ce que voulait aussi le président Mao Zedong à ce moment-là où la guerre froide avait saisi le monde [...]. Nous sommes attachées, la Chine et la France, à l'indépendance, à la souveraineté. Nous avons aussi, vis-à-vis des organisations internationales, à commencer par l'ONU, le plus grand respect parce que nous sommes membres permanents du Conseil de sécurité et que nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde [...].

La Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents et c'est pourquoi nous sommes solidaires de l'Afrique. La Chine y investit depuis longtemps, y travaille, y construit [...]. Le second défi, c'est la croissance. J'allais dire, le vôtre, c'est de la maîtriser parce que vous êtes sur des rythmes considérables de progression de l'activité : 7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes. [...] Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire. [...] Il y a 17 ans, la Chine représentait 3% de l'économie mondiale, aujourd'hui elle en représente 12%. Il y a 17 ans, l'euro n'existait pas, aujourd'hui c'est la monnaie unique de 18 pays européens et la première devise en circulation dans le monde.

À qui François Hollande attribue-t-il le décollage économique de la Chine ?

Extraits du discours prononcé par le président de la République François Hollande à l'occasion de la visite d'État du président chinois Xi Jinping, le 27 mars 2014.

http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-de-commemoration-du-50emeanniversaire-des-relations-diplomatiques-franco-chinoises/

Aujourd'hui, c'est la Chine et la France qui se retrouvent une fois encore. Les liens qui unissent nos deux pays s'inscrivent loin dans notre histoire. […] Et dans ce long récit, un acte plus important que tout autre a été posé le 27 janvier 1964. […] Là, le général de Gaulle avait raccourci pour mieux forcer sa pensée et il avait ainsi écrit : "Le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques". […] 50 ans plus tard, nous pouvons aussi mesurer le chemin parcouru. La Chine, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a pris la voie de la réforme et de l'ouverture. Elle est devenue en 30 ans la deuxième puissance économique du monde, un grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde. […] La Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune. La Chine, elle est portée par la dynamique d'abord de son émergence, ensuite de son influence. Et elle poursuit un développement à un rythme très rapide. […] Alors, la France, elle veut encore renforcer sa relation avec la Chine. […] Aujourd'hui, 1 500 000 Chinois visitent la France chaque année […]. Nous avons aussi une chance qui est de partager une communauté chinoise ici, en France, et je la salue. Plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques et qui vous ont réservé un très bon accueil. Et puis il y a ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer et qui sont nos meilleurs vecteurs pour prolonger, promouvoir nos relations et notre amitié. Alors, 50 ans après cette décision historique, qu'est-ce que nous avons à faire ensemble ? Quels défis nous pouvons relever ? Le premier, c'est la paix. C'était d'ailleurs ce que voulait le général de Gaulle, ce que voulait aussi le président Mao Zedong à ce moment-là où la guerre froide avait saisi le monde [...]. Nous sommes attachées, la Chine et la France, à l'indépendance, à la souveraineté. Nous avons aussi, vis-à-vis des organisations internationales, à commencer par l'ONU, le plus grand respect parce que nous sommes membres permanents du Conseil de sécurité et que nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde [...].

La Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents et c'est pourquoi nous sommes solidaires de l'Afrique. La Chine y investit depuis longtemps, y travaille, y construit [...]. Le second défi, c'est la croissance. J'allais dire, le vôtre, c'est de la maîtriser parce que vous êtes sur des rythmes considérables de progression de l'activité : 7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes. [...] Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire. [...] Il y a 17 ans, la Chine représentait 3% de l'économie mondiale, aujourd'hui elle en représente 12%. Il y a 17 ans, l'euro n'existait pas, aujourd'hui c'est la monnaie unique de 18 pays européens et la première devise en circulation dans le monde.

Quand la période maoïste se termine-t-elle ?

Extraits du discours prononcé par le président de la République François Hollande à l'occasion de la visite d'État du président chinois Xi Jinping, le 27 mars 2014.

http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-de-commemoration-du-50emeanniversaire-des-relations-diplomatiques-franco-chinoises/

Aujourd'hui, c'est la Chine et la France qui se retrouvent une fois encore. Les liens qui unissent nos deux pays s'inscrivent loin dans notre histoire. […] Et dans ce long récit, un acte plus important que tout autre a été posé le 27 janvier 1964. […] Là, le général de Gaulle avait raccourci pour mieux forcer sa pensée et il avait ainsi écrit : "Le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques". […] 50 ans plus tard, nous pouvons aussi mesurer le chemin parcouru. La Chine, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a pris la voie de la réforme et de l'ouverture. Elle est devenue en 30 ans la deuxième puissance économique du monde, un grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde. […] La Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune. La Chine, elle est portée par la dynamique d'abord de son émergence, ensuite de son influence. Et elle poursuit un développement à un rythme très rapide. […] Alors, la France, elle veut encore renforcer sa relation avec la Chine. […] Aujourd'hui, 1 500 000 Chinois visitent la France chaque année […]. Nous avons aussi une chance qui est de partager une communauté chinoise ici, en France, et je la salue. Plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques et qui vous ont réservé un très bon accueil. Et puis il y a ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer et qui sont nos meilleurs vecteurs pour prolonger, promouvoir nos relations et notre amitié. Alors, 50 ans après cette décision historique, qu'est-ce que nous avons à faire ensemble ? Quels défis nous pouvons relever ? Le premier, c'est la paix. C'était d'ailleurs ce que voulait le général de Gaulle, ce que voulait aussi le président Mao Zedong à ce moment-là où la guerre froide avait saisi le monde [...]. Nous sommes attachées, la Chine et la France, à l'indépendance, à la souveraineté. Nous avons aussi, vis-à-vis des organisations internationales, à commencer par l'ONU, le plus grand respect parce que nous sommes membres permanents du Conseil de sécurité et que nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde [...].

La Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents et c'est pourquoi nous sommes solidaires de l'Afrique. La Chine y investit depuis longtemps, y travaille, y construit [...]. Le second défi, c'est la croissance. J'allais dire, le vôtre, c'est de la maîtriser parce que vous êtes sur des rythmes considérables de progression de l'activité : 7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes. [...] Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire. [...] Il y a 17 ans, la Chine représentait 3% de l'économie mondiale, aujourd'hui elle en représente 12%. Il y a 17 ans, l'euro n'existait pas, aujourd'hui c'est la monnaie unique de 18 pays européens et la première devise en circulation dans le monde.

Quel est le président américain qui a reconnu la Chine populaire ?

Extraits du discours prononcé par le président de la République François Hollande à l'occasion de la visite d'État du président chinois Xi Jinping, le 27 mars 2014.

http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-de-commemoration-du-50emeanniversaire-des-relations-diplomatiques-franco-chinoises/

Aujourd'hui, c'est la Chine et la France qui se retrouvent une fois encore. Les liens qui unissent nos deux pays s'inscrivent loin dans notre histoire. […] Et dans ce long récit, un acte plus important que tout autre a été posé le 27 janvier 1964. […] Là, le général de Gaulle avait raccourci pour mieux forcer sa pensée et il avait ainsi écrit : "Le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques". […] 50 ans plus tard, nous pouvons aussi mesurer le chemin parcouru. La Chine, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a pris la voie de la réforme et de l'ouverture. Elle est devenue en 30 ans la deuxième puissance économique du monde, un grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde. […] La Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune. La Chine, elle est portée par la dynamique d'abord de son émergence, ensuite de son influence. Et elle poursuit un développement à un rythme très rapide. […] Alors, la France, elle veut encore renforcer sa relation avec la Chine. […] Aujourd'hui, 1 500 000 Chinois visitent la France chaque année […]. Nous avons aussi une chance qui est de partager une communauté chinoise ici, en France, et je la salue. Plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques et qui vous ont réservé un très bon accueil. Et puis il y a ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer et qui sont nos meilleurs vecteurs pour prolonger, promouvoir nos relations et notre amitié. Alors, 50 ans après cette décision historique, qu'est-ce que nous avons à faire ensemble ? Quels défis nous pouvons relever ? Le premier, c'est la paix. C'était d'ailleurs ce que voulait le général de Gaulle, ce que voulait aussi le président Mao Zedong à ce moment-là où la guerre froide avait saisi le monde [...]. Nous sommes attachées, la Chine et la France, à l'indépendance, à la souveraineté. Nous avons aussi, vis-à-vis des organisations internationales, à commencer par l'ONU, le plus grand respect parce que nous sommes membres permanents du Conseil de sécurité et que nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde [...].

La Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents et c'est pourquoi nous sommes solidaires de l'Afrique. La Chine y investit depuis longtemps, y travaille, y construit [...]. Le second défi, c'est la croissance. J'allais dire, le vôtre, c'est de la maîtriser parce que vous êtes sur des rythmes considérables de progression de l'activité : 7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes. [...] Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire. [...] Il y a 17 ans, la Chine représentait 3% de l'économie mondiale, aujourd'hui elle en représente 12%. Il y a 17 ans, l'euro n'existait pas, aujourd'hui c'est la monnaie unique de 18 pays européens et la première devise en circulation dans le monde.

Le 27 janvier 1964, les gouvernements français et chinois font paraître un bref communiqué dans lequel ils indiquent que "le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République populaire de Chine ont décidé, d'un commun accord, d'établir des relations diplomatiques. Ils sont convenus à cet effet de désigner des ambassadeurs dans un délai de trois mois." Laconique, ce communiqué n'en est pas moins d'une audace frappante. En pleine guerre froide, la France de De Gaulle affirme son indépendance à l'égard du "monde libre" et de son champion américain et la Chine s'affirme quant à elle aux dépens de l'URSS avec laquelle les relations se tendent inexorablement.

Cinquante ans plus tard, en 2014, le président Hollande commémore l'établissement de ces relations diplomatiques en invitant le président Xi à Paris pour une visite d'État. Le discours qui est alors prononcé par le président français est l'occasion de rappeler l'ancienneté et la précocité de ces relations et de livrer une vision de la puissance chinoise au début du XXIe siècle. Une vision qui passe cependant sous silence certains aspects de cette puissance. Nous nous attacherons donc à analyser cet extrait en mettant en avant l'image, réelle mais quelque peu tronquée, que François Hollande donne de la Chine.

Nous verrons ainsi dans un premier temps que, pour le président français, la Chine est une puissance économique dynamique avec laquelle la France doit nouer des relations étroites ; dans un deuxième temps, il nous appartiendra de montrer que pour François Hollande, la Chine est une puissance émergente avec laquelle il faut compter pour stabiliser le monde et assurer la paix.

I

La Chine : une puissance économique dynamique

François Hollande présente tout d'abord la Chine comme une puissance économiquement dynamique qui, grâce à des taux de croissance enviables ("7% par an, ce sont les mauvaises années ; 10% par an, ce sont les moyennes" rappelle le président), a réussi à s'imposer comme "la deuxième puissance économique du monde" ; en 2014, elle représentait 12% de l'économie mondiale contre 3% dix-sept ans auparavant selon le président français. On mesure donc à ces seules données l'importance de la progression et l'impact qu'elle a pu avoir sur les équilibres géo-économiques mondiaux. Cette sortie du sous-développement, la Chine la doit - François Hollande le rappelle à juste titre - aux réformes initiées à partir de 1979 par Deng Xiaoping. Celui-ci, après la mort de Mao Zedong en 1976, s'est imposé à la tête de la République populaire de Chine ; faisant le constat de l'échec de la "voie chinoise vers le communisme" prônée par son prédécesseur, il a engagé les "quatre modernisations" et ouvert la Chine sur le monde grâce à la création des Zones économiques spéciales (ZES) appelées à se développer et à faire de la Chine l'"atelier du monde" dans le cadre de la Nouvelle division internationale du travail (NDIT). Aujourd'hui, la Chine apparaît aussi comme un "grand pays scientifique avec plus d'un tiers des ingénieurs formés chaque année dans le monde".

Le constat que dresse François Hollande offre donc l'occasion de rappeler que la Chine fait partie du groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) qui rassemble les pays émergents les plus dynamiques de la planète, c'est-à-dire des pays dont la croissance du PIB est supérieure à la moyenne mondiale et qui voient leur population sortir progressivement de la grande pauvreté ; c'est indéniablement le cas de la Chine même s'il faut souligner que la crise financière de 2008 a eu des conséquences importantes et durables sur son économie. On peut aussi rappeler que la question de la transition et du rééquilibrage se pose avec acuité pour les dirigeants chinois qui doivent envisager et gérer le passage vers une économie moins extravertie.

Si l'économie chinoise a été florissante ces trente dernières années et si elle a permis à un grand nombre de Chinois de sortir de la grande pauvreté, il n'en reste cependant pas moins que de graves et profondes inégalités sociales et territoriales subsistent. Ce sont en effet encore des millions de personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté en Chine et la classe moyenne, si elle se développe à marche forcée, n'en reste pas moins encore peu nombreuse à l'aune des standards occidentaux. La Chine littorale a un développement économique rapide (zones franches, ZIP (zone industrialo-portuaire) parmi les plus importantes au monde etc.) alors que la Chine intérieure ne connaît pas le même essor.

De cette croissance économique et de ce dynamisme, la France de François Hollande souhaite pouvoir tirer quelque bénéfice en "renfor(çant) sa relation avec la Chine". On peut légitimement penser que la perspective de voir les entreprises françaises s'implanter dans l'Empire du Milieu et y faire prospérer leurs affaires dicte en grande partie les considérations politiques. D'ailleurs, le président français n'hésite pas à évoquer les besoins de la Chine et la capacité des entreprises tricolores à les satisfaire : "Je rappelle ici que d'ici 2020, plus de 200 villes chinoises dépasseront le million d'habitants. Et là, il y a des besoins considérables que nos entreprises ici présentes peuvent satisfaire". Il rappelle aussi que des milliers de "Français (…) se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études (…), soit pour y créer une activité, y investir, y commercer". D'une certaine manière, François Hollande voit en la Chine un marché à conquérir et un partenaire commercial à choyer.

Si, pour François Hollande, la Chine est une puissance émergente d'un point de vue économique, elle est aussi une puissance émergente d'un point de vue politique.

II

Une "montée en puissance pacifique" de la Chine ?

Au cours de son discours, François Hollande évoque à plusieurs reprises le poids politique et l'"influence" croissante du pays sur les affaires du monde. De manière assez traditionnelle, il présente une puissance douce, un Soft power à la chinoise qui passe notamment par sa diaspora : la communauté chinoise de France, concentrée pour l'essentiel à Paris, est ainsi "saluée" : "plus de 600 000 personnes qui sont particulièrement dynamiques" constituent "la communauté chinoise (…) en France". Il est certain que la diaspora chinoise, présente un peu partout dans le monde, assure à la Chine un relais puissant à l'influence du pays. Elle anime ainsi les instituts Confucius qui assurent le rayonnement de la culture chinoise, notamment par l'enseignement de la langue, l'organisation de festivals de cinéma, d'événements populaires comme le Nouvel An chinois, etc. Parallèlement, la Chine attire aussi, et le président d'évoquer "ces Français qui se sont installés en Chine soit pour y faire leurs études – de plus en plus nombreux –, soit pour y créer une activité, y investir, y commercer". C'est donc une Chine ouverte sur le monde que décrit le président.

François Hollande évoque aussi une Chine très "attachée (…) à l'indépendance (et) à la souveraineté" et porteuse d'un idéal de paix. Il rappelle que cet objectif était partagé par De Gaulle et Mao au moment de l'établissement des relations diplomatiques. On peut cependant douter de ce pacifisme qui semble quelque peu angélique : la Chine de Mao n'avait pas hésité à intervenir de diverses manières dans les conflits régionaux, que ce soit en Corée, au Vietnam ou au Cambodge. La Chine n'a-t-elle pas par ailleurs envahi le Tibet en 1950 ? En d'autres termes, la Chine a toujours eu la volonté de s'imposer comme une puissance, fût-ce par les armes. Aujourd'hui encore, Pékin nourrit des ambitions territoriales dans la région et notamment en mer de Chine, ce qui ne laisse d'inquiéter les Américains et leurs alliés dans la région, au premier rang desquels le Japon qui s'interroge sur la nécessité de recréer une armée pour lutter contre l'expansion chinoise.

François Hollande parle aussi du "grand respect" que la Chine et la France manifestent constamment à l'égard des "organisations internationales, à commencer par l'ONU" et de rappeler que Pékin comme Paris sont "membres permanents du Conseil de sécurité", ce qui leur confère évidemment un poids non négligeable dans les négociations via, notamment, leur droit de veto. Il semble cependant que le président français cherche une formule diplomatique pour évoquer l'action de la Chine à l'ONU ; en effet, il dit : "nous ne nous opposons pas aux résolutions quand elles permettent de trouver une issue à des conflits qui, depuis trop longtemps, bouleversent les équilibres du monde", manière élégante de dire que la Chine est peu active et n'est pas – ou peu – force de proposition. En effet, quels que soient les conflits ou les tensions, la Chine semble peu s'impliquer et surtout, peu désireuse d'intervenir tant elle craint et réfute le "droit d'ingérence" qu'elle redoute de voir appliquer chez elle.

Enfin, François Hollande présente la Chine comme une puissance lorsqu'il rappelle que "la Chine et la France regardent au-delà de leurs propres continents", manière de rappeler que ces deux pays veulent influencer le cours des choses et exercer leur puissance, fût-elle douce. Cette puissance, pour François Hollande, se traduit par l'intervention chinoise en Afrique, continent avec lequel la Chine, comme la France, serait "solidaire", ce qui expliquerait qu'elle "y investi(sse)". Il semble cependant que les investissements, massifs, des Chinois en Afrique ne relèvent en rien de la solidarité internationale et de la charité (pas plus que ceux de la France d'ailleurs), mais plutôt de la nécessité de fournir à l'économie chinoise un accès privilégié aux matières premières, des terres arables capables de l'approvisionner en denrées alimentaires, et un marché rentable puisque le sous-équipement de nombreux pays africains permet d'envisager de beaux et lucratifs chantiers. C'est donc peu de dire que "la Chine y investit (…), y travaille, y construit" ! Enfin, cette puissance se manifeste par la conquête de l'espace : comme toute grande puissance, la Chine a voulu développer son secteur aérospatial et est aujourd'hui en mesure de mettre des satellites en orbite et d'envoyer des engins d'exploration sur la Lune ; en ce sens, François Hollande a raison de rappeler que "la Chine, c'est également la troisième nation à avoir conquis la Lune."

On peut donc considérer que François Hollande dresse le portrait d'une Chine-puissance : puissance économique en voie d'affirmation, puissance politique en construction. Le contexte dans lequel ce discours est prononcé est évidemment propice au travestissement ou, à tout le moins, aux arrangements. On ne commémore pas l'anniversaire d'une relation en critiquant son partenaire ; au contraire, on le dépeint sous son meilleur jour. C'est ce que fait le président français qui, tout à son éloge de la puissance chinoise, en oublie de souligner la menace qu'elle fait peser sur les équilibres géo-économique et géopolitique mondiaux.

Surtout, il omet de présenter le "côté obscur" de la Chine : les droits de l'Homme sont bafoués, la société contrôlée, la démocratie inexistante. En 2014, la Chine était le pays qui comptait le plus de journalistes emprisonnés. Le recensement des exécutions est impossible, mais d'après Amnesty International il s'agit du pays qui a le plus appliqué la peine de mort. Par ailleurs, la corruption du personnel politique est très répandu, voire systématique.

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