Antilles Guyane, 2015, voie S
Après avoir replacé ces deux documents dans leur contexte respectif, présentez l'évolution des relations entre la Chine et l'URSS entre les années 1950 et les années 1970. Montrez ensuite l'intérêt de la confrontation de ces documents pour comprendre l'affirmation de la puissance chinoise dans la même période.
Affiche chinoise de Cai Zhenhua, 1953.
Traduction : "Avec l'immense soutien de l'Union soviétique et notre très grande force, nous réaliserons l'industrialisation de notre nation, pas à pas !"
Discours de Deng Xiaoping1 devant l'assemblée générale des Nations unies, 10 avril 1974.
Les deux superpuissances, les plus grands exploiteurs et oppresseurs internationaux de notre époque, constituent le foyer d'une nouvelle guerre mondiale. Toutes deux disposent d'importantes quantités d'armes nucléaires. Elles se lancent dans une course effrénée aux armements, font stationner des troupes aux effectifs considérables hors de leurs frontières et établissent partout des bases militaires, menaçant ainsi l'indépendance et la sécurité de tous les autres pays. Elles ne cessent de soumettre les autres pays à la mainmise, à la subversion, à l'intervention et à l'agression. Toutes deux se livrent, sur le plan économique, à l'exploitation des autres nations, au pillage de leurs richesses et à la spoliation de leurs ressources. À propos des vexations infligées à autrui, la superpuissance qui arbore l'enseigne du socialisme se montre particulièrement perfide. Elle a envoyé des troupes occuper la Tchécoslovaquie2, son alliée, et fomenté une guerre pour démembrer le Pakistan3. Elle ne tient pas sa parole et n'agit en aucun cas à la loyale. Cette superpuissance ne recherche que ses intérêts et, pour y parvenir, elle ne recule devant rien […].
La Chine est un pays socialiste et aussi un pays en développement. La Chine appartient au tiers-monde. Suivant avec constance l'enseignement du président Mao, le gouvernement et le peuple chinois soutiennent fermement tous les peuples et toutes les nations opprimées dans leur lutte pour gagner ou défendre leur indépendance nationale, pour développer leur économie nationale et résister au colonialisme, à l'impérialisme et à l'hégémonisme. […] La Chine n'est pas une superpuissance et jamais elle ne cherchera à en être une.
1 Deng Xiaoping est alors vice-Premier ministre et chef de la délégation de la Chine à l'ONU.
2 En 1968, Moscou intervient militairement contre la Tchécoslovaquie et écrase le Printemps de Prague qui réclame notamment la liberté de la presse et des élections libres.
3 En 1971, le Pakistan se divise entre deux pays : l'un qui garde le nom de Pakistan, et l'autre qui devient le Bangladesh.
Quand la Chine devient-elle communiste ?
Affiche chinoise de Cai Zhenhua, 1953.
Traduction : "Avec l'immense soutien de l'Union soviétique et notre très grande force, nous réaliserons l'industrialisation de notre nation, pas à pas !"
Discours de Deng Xiaoping1 devant l'assemblée générale des Nations unies, 10 avril 1974.
Les deux superpuissances, les plus grands exploiteurs et oppresseurs internationaux de notre époque, constituent le foyer d'une nouvelle guerre mondiale. Toutes deux disposent d'importantes quantités d'armes nucléaires. Elles se lancent dans une course effrénée aux armements, font stationner des troupes aux effectifs considérables hors de leurs frontières et établissent partout des bases militaires, menaçant ainsi l'indépendance et la sécurité de tous les autres pays. Elles ne cessent de soumettre les autres pays à la mainmise, à la subversion, à l'intervention et à l'agression. Toutes deux se livrent, sur le plan économique, à l'exploitation des autres nations, au pillage de leurs richesses et à la spoliation de leurs ressources. À propos des vexations infligées à autrui, la superpuissance qui arbore l'enseigne du socialisme se montre particulièrement perfide. Elle a envoyé des troupes occuper la Tchécoslovaquie2, son alliée, et fomenté une guerre pour démembrer le Pakistan3. Elle ne tient pas sa parole et n'agit en aucun cas à la loyale. Cette superpuissance ne recherche que ses intérêts et, pour y parvenir, elle ne recule devant rien […].
La Chine est un pays socialiste et aussi un pays en développement. La Chine appartient au tiers-monde. Suivant avec constance l'enseignement du président Mao, le gouvernement et le peuple chinois soutiennent fermement tous les peuples et toutes les nations opprimées dans leur lutte pour gagner ou défendre leur indépendance nationale, pour développer leur économie nationale et résister au colonialisme, à l'impérialisme et à l'hégémonisme. […] La Chine n'est pas une superpuissance et jamais elle ne cherchera à en être une.
1 Deng Xiaoping est alors vice-Premier ministre et chef de la délégation de la Chine à l'ONU.
2 En 1968, Moscou intervient militairement contre la Tchécoslovaquie et écrase le Printemps de Prague qui réclame notamment la liberté de la presse et des élections libres.
3 En 1971, le Pakistan se divise entre deux pays : l'un qui garde le nom de Pakistan, et l'autre qui devient le Bangladesh.
Quelle est l'ambition manifestée par la Chine dans le document 2 ?
Affiche chinoise de Cai Zhenhua, 1953.
Traduction : "Avec l'immense soutien de l'Union soviétique et notre très grande force, nous réaliserons l'industrialisation de notre nation, pas à pas !"
Discours de Deng Xiaoping1 devant l'assemblée générale des Nations unies, 10 avril 1974.
Les deux superpuissances, les plus grands exploiteurs et oppresseurs internationaux de notre époque, constituent le foyer d'une nouvelle guerre mondiale. Toutes deux disposent d'importantes quantités d'armes nucléaires. Elles se lancent dans une course effrénée aux armements, font stationner des troupes aux effectifs considérables hors de leurs frontières et établissent partout des bases militaires, menaçant ainsi l'indépendance et la sécurité de tous les autres pays. Elles ne cessent de soumettre les autres pays à la mainmise, à la subversion, à l'intervention et à l'agression. Toutes deux se livrent, sur le plan économique, à l'exploitation des autres nations, au pillage de leurs richesses et à la spoliation de leurs ressources. À propos des vexations infligées à autrui, la superpuissance qui arbore l'enseigne du socialisme se montre particulièrement perfide. Elle a envoyé des troupes occuper la Tchécoslovaquie2, son alliée, et fomenté une guerre pour démembrer le Pakistan3. Elle ne tient pas sa parole et n'agit en aucun cas à la loyale. Cette superpuissance ne recherche que ses intérêts et, pour y parvenir, elle ne recule devant rien […].
La Chine est un pays socialiste et aussi un pays en développement. La Chine appartient au Tiers-monde. Suivant avec constance l'enseignement du président Mao, le gouvernement et le peuple chinois soutiennent fermement tous les peuples et toutes les nations opprimées dans leur lutte pour gagner ou défendre leur indépendance nationale, pour développer leur économie nationale et résister au colonialisme, à l'impérialisme et à l'hégémonisme. […] La Chine n'est pas une superpuissance et jamais elle ne cherchera à en être une.
1 Deng Xiaoping est alors vice-Premier ministre et chef de la délégation de la Chine à l'ONU.
2 En 1968, Moscou intervient militairement contre la Tchécoslovaquie et écrase le Printemps de Prague qui réclame notamment la liberté de la presse et des élections libres.
3 En 1971, le Pakistan se divise entre deux pays : l'un qui garde le nom de Pakistan, et l'autre qui devient le Bangladesh.
Quand la Chine et l'URSS s'affrontent-elles militairement ?
Affiche chinoise de Cai Zhenhua, 1953.
Traduction : "Avec l'immense soutien de l'Union soviétique et notre très grande force, nous réaliserons l'industrialisation de notre nation, pas à pas !"
Discours de Deng Xiaoping1 devant l'assemblée générale des Nations unies, 10 avril 1974.
Les deux superpuissances, les plus grands exploiteurs et oppresseurs internationaux de notre époque, constituent le foyer d'une nouvelle guerre mondiale. Toutes deux disposent d'importantes quantités d'armes nucléaires. Elles se lancent dans une course effrénée aux armements, font stationner des troupes aux effectifs considérables hors de leurs frontières et établissent partout des bases militaires, menaçant ainsi l'indépendance et la sécurité de tous les autres pays. Elles ne cessent de soumettre les autres pays à la mainmise, à la subversion, à l'intervention et à l'agression. Toutes deux se livrent, sur le plan économique, à l'exploitation des autres nations, au pillage de leurs richesses et à la spoliation de leurs ressources. À propos des vexations infligées à autrui, la superpuissance qui arbore l'enseigne du socialisme se montre particulièrement perfide. Elle a envoyé des troupes occuper la Tchécoslovaquie2, son alliée, et fomenté une guerre pour démembrer le Pakistan3. Elle ne tient pas sa parole et n'agit en aucun cas à la loyale. Cette superpuissance ne recherche que ses intérêts et, pour y parvenir, elle ne recule devant rien […].
La Chine est un pays socialiste et aussi un pays en développement. La Chine appartient au tiers-monde. Suivant avec constance l'enseignement du président Mao, le gouvernement et le peuple chinois soutiennent fermement tous les peuples et toutes les nations opprimées dans leur lutte pour gagner ou défendre leur indépendance nationale, pour développer leur économie nationale et résister au colonialisme, à l'impérialisme et à l'hégémonisme. […] La Chine n'est pas une superpuissance et jamais elle ne cherchera à en être une.
1 Deng Xiaoping est alors vice-Premier ministre et chef de la délégation de la Chine à l'ONU.
2 En 1968, Moscou intervient militairement contre la Tchécoslovaquie et écrase le Printemps de Prague qui réclame notamment la liberté de la presse et des élections libres.
3 En 1971, le Pakistan se divise entre deux pays : l'un qui garde le nom de Pakistan, et l'autre qui devient le Bangladesh.
Quel est le nom officiel de la Chine continentale ?
Affiche chinoise de Cai Zhenhua, 1953.
Traduction : "Avec l'immense soutien de l'Union soviétique et notre très grande force, nous réaliserons l'industrialisation de notre nation, pas à pas !"
Discours de Deng Xiaoping1 devant l'assemblée générale des Nations unies, 10 avril 1974.
Les deux superpuissances, les plus grands exploiteurs et oppresseurs internationaux de notre époque, constituent le foyer d'une nouvelle guerre mondiale. Toutes deux disposent d'importantes quantités d'armes nucléaires. Elles se lancent dans une course effrénée aux armements, font stationner des troupes aux effectifs considérables hors de leurs frontières et établissent partout des bases militaires, menaçant ainsi l'indépendance et la sécurité de tous les autres pays. Elles ne cessent de soumettre les autres pays à la mainmise, à la subversion, à l'intervention et à l'agression. Toutes deux se livrent, sur le plan économique, à l'exploitation des autres nations, au pillage de leurs richesses et à la spoliation de leurs ressources. À propos des vexations infligées à autrui, la superpuissance qui arbore l'enseigne du socialisme se montre particulièrement perfide. Elle a envoyé des troupes occuper la Tchécoslovaquie2, son alliée, et fomenté une guerre pour démembrer le Pakistan3. Elle ne tient pas sa parole et n'agit en aucun cas à la loyale. Cette superpuissance ne recherche que ses intérêts et, pour y parvenir, elle ne recule devant rien […].
La Chine est un pays socialiste et aussi un pays en développement. La Chine appartient au tiers-monde. Suivant avec constance l'enseignement du président Mao, le gouvernement et le peuple chinois soutiennent fermement tous les peuples et toutes les nations opprimées dans leur lutte pour gagner ou défendre leur indépendance nationale, pour développer leur économie nationale et résister au colonialisme, à l'impérialisme et à l'hégémonisme. […] La Chine n'est pas une superpuissance et jamais elle ne cherchera à en être une.
1 Deng Xiaoping est alors vice-Premier ministre et chef de la délégation de la Chine à l'ONU.
2 En 1968, Moscou intervient militairement contre la Tchécoslovaquie et écrase le Printemps de Prague qui réclame notamment la liberté de la presse et des élections libres.
3 En 1971, le Pakistan se divise entre deux pays : l'un qui garde le nom de Pakistan, et l'autre qui devient le Bangladesh.
À quel événement le document 1 fait-il référence ?
Affiche chinoise de Cai Zhenhua, 1953.
Traduction : "Avec l'immense soutien de l'Union soviétique et notre très grande force, nous réaliserons l'industrialisation de notre nation, pas à pas !"
Discours de Deng Xiaoping1 devant l'assemblée générale des Nations unies, 10 avril 1974.
Les deux superpuissances, les plus grands exploiteurs et oppresseurs internationaux de notre époque, constituent le foyer d'une nouvelle guerre mondiale. Toutes deux disposent d'importantes quantités d'armes nucléaires. Elles se lancent dans une course effrénée aux armements, font stationner des troupes aux effectifs considérables hors de leurs frontières et établissent partout des bases militaires, menaçant ainsi l'indépendance et la sécurité de tous les autres pays. Elles ne cessent de soumettre les autres pays à la mainmise, à la subversion, à l'intervention et à l'agression. Toutes deux se livrent, sur le plan économique, à l'exploitation des autres nations, au pillage de leurs richesses et à la spoliation de leurs ressources. À propos des vexations infligées à autrui, la superpuissance qui arbore l'enseigne du socialisme se montre particulièrement perfide. Elle a envoyé des troupes occuper la Tchécoslovaquie2, son alliée, et fomenté une guerre pour démembrer le Pakistan3. Elle ne tient pas sa parole et n'agit en aucun cas à la loyale. Cette superpuissance ne recherche que ses intérêts et, pour y parvenir, elle ne recule devant rien […].
La Chine est un pays socialiste et aussi un pays en développement. La Chine appartient au tiers-monde. Suivant avec constance l'enseignement du président Mao, le gouvernement et le peuple chinois soutiennent fermement tous les peuples et toutes les nations opprimées dans leur lutte pour gagner ou défendre leur indépendance nationale, pour développer leur économie nationale et résister au colonialisme, à l'impérialisme et à l'hégémonisme. […] La Chine n'est pas une superpuissance et jamais elle ne cherchera à en être une.
1 Deng Xiaoping est alors vice-Premier ministre et chef de la délégation de la Chine à l'ONU.
2 En 1968, Moscou intervient militairement contre la Tchécoslovaquie et écrase le Printemps de Prague qui réclame notamment la liberté de la presse et des élections libres.
3 En 1971, le Pakistan se divise entre deux pays : l'un qui garde le nom de Pakistan, et l'autre qui devient le Bangladesh.
Dans quel contexte le discours reproduit dans le document 2 est-il prononcé ?
Affiche chinoise de Cai Zhenhua, 1953.
Traduction : "Avec l'immense soutien de l'Union soviétique et notre très grande force, nous réaliserons l'industrialisation de notre nation, pas à pas !"
Discours de Deng Xiaoping1 devant l'assemblée générale des Nations unies, 10 avril 1974.
Les deux superpuissances, les plus grands exploiteurs et oppresseurs internationaux de notre époque, constituent le foyer d'une nouvelle guerre mondiale. Toutes deux disposent d'importantes quantités d'armes nucléaires. Elles se lancent dans une course effrénée aux armements, font stationner des troupes aux effectifs considérables hors de leurs frontières et établissent partout des bases militaires, menaçant ainsi l'indépendance et la sécurité de tous les autres pays. Elles ne cessent de soumettre les autres pays à la mainmise, à la subversion, à l'intervention et à l'agression. Toutes deux se livrent, sur le plan économique, à l'exploitation des autres nations, au pillage de leurs richesses et à la spoliation de leurs ressources. À propos des vexations infligées à autrui, la superpuissance qui arbore l'enseigne du socialisme se montre particulièrement perfide. Elle a envoyé des troupes occuper la Tchécoslovaquie2, son alliée, et fomenté une guerre pour démembrer le Pakistan3. Elle ne tient pas sa parole et n'agit en aucun cas à la loyale. Cette superpuissance ne recherche que ses intérêts et, pour y parvenir, elle ne recule devant rien […].
La Chine est un pays socialiste et aussi un pays en développement. La Chine appartient au tiers-monde. Suivant avec constance l'enseignement du président Mao, le gouvernement et le peuple chinois soutiennent fermement tous les peuples et toutes les nations opprimées dans leur lutte pour gagner ou défendre leur indépendance nationale, pour développer leur économie nationale et résister au colonialisme, à l'impérialisme et à l'hégémonisme. […] La Chine n'est pas une superpuissance et jamais elle ne cherchera à en être une.
1 Deng Xiaoping est alors vice-Premier ministre et chef de la délégation de la Chine à l'ONU.
2 En 1968, Moscou intervient militairement contre la Tchécoslovaquie et écrase le Printemps de Prague qui réclame notamment la liberté de la presse et des élections libres.
3 En 1971, le Pakistan se divise entre deux pays : l'un qui garde le nom de Pakistan, et l'autre qui devient le Bangladesh.