Lors d'une expérience aléatoire qui se répète, on souhaite connaître la proportion des échantillons proche de l'espérance. Pour cela, on utilise l'inégalité de concentration.
Soit X une variable aléatoire réelle d'espérance \mu et de variance V .
Comment l'inégalité de Bienaymé-Tchebychev s'écrit-elle ?
Soit X une variable aléatoire réelle d'espérance \mu et de variance V .
Soit a un entier naturel non nul.
Quelle inégalité est vraie ?
Soit n un entier naturel non nul.
Soient une loi de probabilité et (X_1;X_2;...;X_n) un échantillon de cette loi constitué de variables aléatoires d'espérance \mu et de variance V .
Soit M_n=\dfrac{X_1+X_2+...+X_n}{n} la variable aléatoire moyenne.
Comment l'inégalité de concentration s'écrit-elle ?
Jeanne joue, tous les jours d'un mois de 30 jours, 50 fois à « pile ou face » avec une pièce équilibrée.
Soit X_i la variable aléatoire comptant le nombre de « pile » obtenus durant ces 50 lancers le i -ème jour.
On note M = \dfrac{X_1 + \cdots + X_{30}}{30} la variable aléatoire moyenne.
Quelle inégalité obtient-on pour P\left(|M_n - \mu| \geq 2 \sigma\right) ?